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Parfois, les enfants et et les adolescents sont être en proie à un sentiment d’impuissance devant la vie qui s’ouvre à eux.

De même, les parents semblent aussi désorientés, voire très préoccupés par l’avenir de leur progéniture.

En plaçant l’optimisme au cœur de l’éducation, l’enfant ou l’adolescent peut grandir avec un regard positif sur la vie. Il croit davantage en lui-même, il fait confiance, il cherche par lui-même les solutions qui lui manquent en regardant les options qui s’offrent à lui.

 

L’optimisme s’enseigne et s’éduque

 

Il y a encore quelques 30 ou 40 ans, on soulignait l’importance de l’amour pour l’épanouissement : c’était les années Dolto. Ensuite, on a estimé qu’il fallait, en plus, un cadre et de l’autorité.

Aujourd’hui, l’amour et l’autorité purs ne suffisent plus. Les enfants et adolescents ont besoin de comprendre leur place dans le monde, de comprendre comment marche le monde. Ils recherchent du sens.

Ils ont besoin d’être reconnus pour ce qu’ils sont. C’est pourquoi leur apprendre à entretenir leur goût de vivre et leur envie de grandir est un objectif primordial.

Nous devons stimuler leurs envies profondes, leurs ressources personnelles pour qu’ils puissent faire face aux challenges de la vie avec lucidité, énergie et motivation.

On peut inculquer l’optimisme à son enfant dans ce but-là.

Comment ? En encourageant la ténacité pour réussir, en partageant les moments de rire et les sourires, en stimulant leur curiosité, en leur donnant goût à la connaissance et à l’émerveillement, et surtout en les encourageant.

Beaucoup d’entre nous ont connu les, « ce n’est pas assez bien, tu es nul, tu es mauvais, tu te prends pour qui… » qui ont détruit des vies et des vocations.

 

Vos actions pour Construire un monde optimiste :

 

Voici 3 piliers qui peuvent servir de base pour éduquer votre enfant sur le chemin de l’optimisme :

  1. Nourrir sa curiosité : dès le plus jeune âge, l’enfant a soif de découverte. Tous ses sens sont mis en action pour s’aventurer et découvrir le monde autour de lui. Il faut laisser l’enfant essayer, expérimenter, éprouver par lui-même la satisfaction de pouvoir accéder à ce qu’il souhaite. Mais, il faut aussi l’encadrer, l’entourer, lui expliquer et répondre à ses questions.
  2. Dédramatiser ses erreurs : comme tout à chacun, l’enfant fait des erreurs et celles-ci font partie de l’apprentissage de la vie. Apprenons-lui à surmonter ses échecs, à lui faire confiance, à être à ses côtés et à valoriser ses succès.
  3. L’aider à préciser sa pensée : le réflexe de l’enfant, face à une difficulté, est de généraliser et de personnaliser. (« C’est toujours comme ça d’abord ! C’est parce que je suis nul que ça ne fonctionne jamais ! »). Donnons-lui une explication précise, montrons-lui que les efforts paient à un moment ou à un autre, qu’il peut être fier de dépasser ses limites.

L’optimisme n’est pas qu’une émotion ou un sentiment, c’est une façon de vivre et de penser